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Après une séance stable, le titre perd du terrain et reste toujours en-dessous des moyennes mobiles à 7 et 20 jours mais au-dessus du support long terme qui se situe à 131.50€. De ce fait, on peut signaler que le cours évolue toujours à l’intérieur du canal baissier court terme mais s’éloigne de la ligne de résonance, se rapprochant par la même de la droite de support. La droite de support se situe à 124.80€, la ligne de résonance à 139.50€ et la droite de résistance à 154.10€ pour la séance du jeudi 18 juillet 2024. La tendance court terme reste « baissière » puisque le cours évolue toujours en-dessous de la moyenne mobile à 7 jours et en-dessous de la moyenne mobile à 20 jours, dont la MM7 qui reste décroissante se situe en-dessous de la MM20 qui reste décroissante. De plus, le cours évolue toujours en-dessous de la moyenne mobile à 50 jours qui reste décroissante ce qui indique que la tendance de fond est « baissière ». De même, le cours évolue toujours en-dessous de la moyenne mobile à 200 jours qui reste croissante ce qui indique que la tendance de long terme est « neutre ». Les indicateurs techniques se dégradent légèrement mais restent mitigés, avec le RSI qui évolue toujours en-dessous des 50, le Momentum qui évolue toujours en territoire positif, la Stochastique qui évolue à nouveau en-dessous des 50 mais qui reste au-dessus de sa moyenne mobile et le MACD qui évolue toujours au-dessus de son signal mais qui reste en territoire négatif. De plus, on peut signaler que nous sommes en présence d’un dix-septième SAR rouge ce qui est un point négatif. L'objectif haussier reste le même, à savoir dans un premier temps, la résistance moyen terme à 138.00€, puis la ligne de résonance du canal baissier court terme à 139.50€. Si le cours reste baissier, l'objectif sera le support long terme à 131.50, puis le support long terme à 126.50€.
Vous trouverez dans le graphique, la zone cible que j’attends pour prendre une nouvelle ligne si le cours reste baissier.
Les retracements de Fibonacci :
Le sommet de retracement de Fibonacci qui donne un cours à 169.81€ ;
Les 23.60% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 157.63€ ;
Les 38.20% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 150.10€ ;
Les 50.00% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 144.01€ ;
Les 61.80% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 137.92€ ;
Les 78.60% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 129.25€ ;
La base de retracement de Fibonacci qui donne un cours à 118.21€.
Les moyennes mobiles :
Moyenne mobile à 7 jours reste décroissante (de 133.16 à 132.64)
Moyenne mobile à 20 jours reste décroissante (de 136.13 à 135.33)
Moyenne mobile à 50 jours reste décroissante (de 1487.78 à 147.19)
Moyenne mobile à 200 jours reste croissante (de 144.24 à 144.29)
Les zones de support sont les suivantes :
1- Support long terme à 131.50€
2- Support long terme à 126.50€
3- Droite de support du canal baissier court terme à 124.80€
Les zones de résistance sont les suivantes :
1- Résistance moyen terme à 138.00€
2- Ligne de résonance du canal baissier court terme à 139.50€
3- Résistance moyen terme à 144.00€
Tout ce qui peut influencer les marchés :
La Banque centrale européenne (BCE) devrait botter en touche jeudi. Après une baisse d’un quart de point des taux directeurs en juin, l’institution francfortoise devrait laisser le loyer de l’argent inchangé, le taux Refi demeurant à 3,75%. La présidente de la BCE, Christine Lagarde, a préparé les esprits à ce scénario lors du forum de Sintra, qui s’est tenu au début du mois de juillet. Si le taux annuel d’inflation a ralenti à 2,5% sur un an en juin dans la zone euro, certaines de ses composantes, les services en particulier, résistent encore. « Il est évident que nous n'avons pas besoin d'avoir [une inflation] des services à 2% parce que les biens manufacturés sont en dessous de 2% et qu'au bout du compte, il y aura un équilibre entre les biens et les services », avait alors lancé Christine Lagarde. S’il n’y a pas de franche opposition à poursuivre le processus de normalisation monétaire, le débat porte davantage sur le rythme de la baisse des taux. Visiblement, ce ne sera pas pour demain, mais plutôt lors de la prochaine réunion du 12 septembre. La décision de la BCE est attendue ce jeudi à 14h15, suivie, une demi-heure plus tard, de la conférence de presse de la patronne de la BCE.
Une fois n’est pas coutume, la politique, européenne et française, sera aussi au centre de l’attention. La reconduction d’Ursula von der Leyen à la tête de la Commission européenne est loin d’être acquise. Sur le papier, les trois groupes formant la coalition majoritaire détiennent 401 sièges, soit 40 de plus que la majorité absolue, ce qui devrait, en théorie, permettre à l’Allemande de 65 ans de rempiler pour cinq ans. Dans les faits, l’équation est plus compliquée : certains élus du PPE (Parti populaire européen) sont opposés à sa candidature et le vote est à bulletin secret. Un rejet serait sans précédent et obligerait le Conseil à désigner un autre candidat. Un siège vacant, il y en a un autre à pourvoir en France, celui de Premier ministre. Le bras de fer se durcit au sein du Nouveau front populaire (NFP), toujours incapable de se mettre d’accord sur un nom. Or, l’horloge tourne. L’Assemblée nationale entame jeudi une session parlementaire de 15 jours. Les nouveaux députés doivent élire leur président(e) puis les autres postes-clés (vice-présidences, questure, commissions).
Sur un plan purement économique, les opérateurs s’intéresseront à trois indicateurs en provenance des États-Unis : les demandes d’allocations hebdomadaires au chômage (consensus : 230.000 contre 222.000 sept jours plus tôt), l’indicateur avancé du Conference Board de juin (consensus : -0,3%) et l’indice Philly Fed de juillet (consensus : 2,9, contre 1,3 en juin). Du côté des entreprises, le rythme des publications de chiffres d’affaires ou de résultats trimestriels monte en puissance avec, à la manœuvre, Abeo, GL Events, HighCo, Maurel & Prom, Stef, Ubisoft, Xilam ou, au sein du CAC 40, Publicis. La direction du groupe de médias va-t-elle relever ses prévisions ? En avril, une croissance de l’activité en haut de fourchette, soit entre 4% et 5%, était jugée « à portée de main ». A l’international, plusieurs grands noms sont attendus au tournant, dont le géant du streaming Netflix, l’équipementier télécoms Nokia, le laboratoire Novartis ou le transporteur aérien United Airlines.
Bonne soirée, la Bise et gardez le sourire 😘😄
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