jeudi 25 avril 2024

TELEPERFORMANCE - Mise à jour du graphique pour la séance du vendredi 26 avril 2024

 

Vous pouvez agrandir le graphe en cliquant dessus

 

Tout ce qui peut influencer les marchés :

Vendredi, il sera impossible de faire l’impasse sur l’évolution des revenus et dépenses des ménages et sur l’inflation aux États-Unis. Le marché sera en effet sensible à l’indice des prix PCE de mars, la mesure d’inflation préférée de la Réserve fédérale américaine (Fed), prévu à 14h30. Selon le consensus, l’indicateur devrait s’inscrire en hausse de 0,3% sur un mois, tout comme en février, et en augmentation de 2,6% sur un an, contre 2,5% en février. Mesurée hors alimentation et énergie, l’inflation PCE « core » devrait ressortir à 0,3% sur un mois et à 2,7% sur un an. « Depuis plusieurs mois, l’inflation PCE évolue plus lentement que l’inflation CPI (2,5% contre 3,2% sur le total en février, 2,8% contre 3,8% sur l’indice 'core', rappelle le cabinet Oddo BHF. Cela tient à un poids plus faible du logement et à une prise en compte des indices des prix à la production (dont l’indice 'core' n’augmentait que de 2,7% l’an en février). L’indice des prix PCE a aussi enregistré une accélération en ce début d’année mais de moindre ampleur que le CPI et cette tendance devrait se poursuivre en mars. La Fed a toute raison de patienter, comme l’a rappelé Jerome Powell la semaine passée, mais elle n’a pas abandonné le scénario central de baisse des taux directeurs cette année. »

 

L’inflation étant revenue à des niveaux plus acceptables, même si au-dessus de la cible de la Fed, les dépenses de consommation des ménages devraient s’en ressentir : elles sont attendues en nouvelle hausse de 0,6% en mars, après 0,8% d’augmentation en février. Les revenus, eux, devraient avoir progressé de 0,5% sur un mois. Dernier indicateur américain à suivre : l’indice définitif de confiance du consommateur de l’Université du Michigan d’avril, espéré à 77,9 points, avec, là aussi, une composante de l’inflation, celle des anticipations de l’évolution des prix à un an.

 

Plus près de nous, en France, les opérateurs s’intéresseront également à l’indice de confiance des consommateurs de mars. Mais le rendez-vous principal est prévu à l’issue de la séance de Bourse, avec les décisions des agences de notation Moody’s et Fitch sur la note de crédit du pays. Une dégradation est fort probable. La raison ? Le dérapage du déficit public. En 2023, il s’est envolé à 5,5% du PIB, plus que les 4,9% initialement prévus par Bercy et, sans cure d’austérité majeure, il est peu probable que l’indicateur renoue avec la cible de 3% d’ici à 2027. Le Fonds monétaire international, lui-même, a torpillé cet objectif, misant sur un déficit de 4,3% dans trois ans.

 

Sur le front des entreprises, il y aura un reliquat de publications de chiffres d’affaires et de résultats. ADP, Amundi, Egide, Grolleau, Rémy Cointreau, Riber ou Sopra Steria, hors CAC 40, seront sur le pont, Safran, STMicroelectronics et TotalEnergies, au sein de l’indice phare. Chez le motoriste, les investisseurs surveilleront que l’objectif de 27,4 milliards d’euros de ventes annuelles est toujours d’actualité. Le fabricant de semi-conducteurs, lui, a prévenu il y a trois mois que ses revenus baisseraient de 15,2% sur un an et que sa marge brute se situerait autour de 42,3% à l’issue du premier trimestre, la faute à des commandes en berne chez les clients qui croulent sous les stocks. Quant à TotalEnergies, il a déjà fait paraître ses indicateurs (production et marge de raffinage), qui augurent d’un trimestre sans mauvaise nouvelle. Toujours dans le secteur pétrolier, les américains Chevron et ExxonMobil dévoileront eux aussi leurs résultats du premier trimestre.

 

Voilà les amis… Et comme toujours, si je fais un mouvement sur TELEPERFORMANCE, je vous avertirai en direct sur X, alors pensez à activer la cloche !

 

Bonne soirée, la Bise et gardez le sourire 😘😄

 

Si vous souhaitez avoir tous mes placements en direct et toutes les autres informations,

n’hésitez pas à vous abonnez à mon compte X !

Airbus - Mise à jour pour la séance du vendredi 26 avril 2024

 

Vous pouvez agrandir le graphe en cliquant dessus

 

Hello les amis ! J’espère que tout le monde va bien et je suis toujours hyper heureux de vous retrouver sur mon site ! Si vous souhaitez avoir des infos et mes placements en direct, ou simplement prendre du bon temps et échanger, n’hésitez pas à vous abonnez à mon compte X !

 

Après une séance baissière, le titre accentue sa perte et passe en-dessous de la moyenne mobile à 7 jours qui repasse décroissante et laisse un petit Gap baissier entre les 162.20€ et les 162.06€. De ce fait, on peut signaler que le cours évolue toujours à l’intérieur du canal haussier court terme mais s’éloigne de la ligne de résonance, se rapprochant par la même de la droite de support. La droite de support se situe à 154.00€, la ligne de résonance à 164.70€ et la droite de résistance à 175.40€ pour la séance du vendredi 26 avril 2024. La tendance court terme passe de « neutre » à « baissière » puisque le cours évolue à nouveau en-dessous de la moyenne mobile à 7 jours et reste en-dessous de la moyenne mobile à 20 jours, dont la MM7 qui repasse décroissante se situe toujours en-dessous de la MM20 qui reste décroissante. Toutefois, le cours évolue toujours au-dessus de la moyenne mobile à 50 jours qui reste croissante ce qui indique que la tendance de fond est « haussière ». Également, le cours évolue toujours au-dessus de la moyenne mobile à 200 jours qui reste croissante ce qui indique que la tendance de long terme est « haussière ». Les indicateurs techniques restent mitigés et se dégradent dans l’ensemble, avec le RSI qui évolue à nouveau en-dessous des 50, le Momentum qui évolue toujours en territoire négatif, la Stochastique qui évolue toujours en-dessous des 50 mais qui reste au-dessus de sa moyenne mobile et le MACD qui évolue toujours en-dessous de son signal mais qui reste en territoire positif. De plus, on peut signaler que nous sommes en présence d’un premier SAR rouge ce qui est un point négatif. L'objectif haussier reste le même, à savoir dans un premier temps, la ligne de résonance du canal haussier court terme à 164.70€, puis la résistance court terme à 165.20€. Si le cours reste baissier, l'objectif sera le support court terme à 157.00€, puis la droite de support du canal haussier court terme à 154.00€.

 

Vous trouverez dans le graphique, la zone cible que j’attends pour prendre une nouvelle ligne si le cours reste baissier.

 

Les retracements de Fibonacci :

Le sommet de retracement de Fibonacci qui donne un cours à 169.81€ ;

Les 23.60% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 157.63€ ;

Les 38.20% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 150.10€ ;

Les 50.00% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 144.01€ ;

Les 61.80% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 137.92€ ;

Les 78.60% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 129.25€ ;

La base de retracement de Fibonacci qui donne un cours à 118.21€.

 

Les moyennes mobiles :

Moyenne mobile à 7 jours repasse décroissante (de 160.85 à 160.78)

Moyenne mobile à 20 jours reste décroissante (de 163.05 à 162.59)

Moyenne mobile à 50 jours reste croissante (de 157.03 à 157.27)

Moyenne mobile à 200 jours reste croissante (de 138.37 à 138.51)

 

Les zones de support sont les suivantes :

1- Support court terme à 157.00€

2- Droite de support du canal haussier court terme à 154.00€

3- Support court terme à 150.00€

 

Les zones de résistance sont les suivantes :

1- Ligne de résonance du canal haussier court terme à 164.70€

2- Résistance court terme à 165.20€

3- Sommet historique du 27 mars 2024 à 169.81€

 

Tout ce qui peut influencer les marchés :

Vendredi, il sera impossible de faire l’impasse sur l’évolution des revenus et dépenses des ménages et sur l’inflation aux États-Unis. Le marché sera en effet sensible à l’indice des prix PCE de mars, la mesure d’inflation préférée de la Réserve fédérale américaine (Fed), prévu à 14h30. Selon le consensus, l’indicateur devrait s’inscrire en hausse de 0,3% sur un mois, tout comme en février, et en augmentation de 2,6% sur un an, contre 2,5% en février. Mesurée hors alimentation et énergie, l’inflation PCE « core » devrait ressortir à 0,3% sur un mois et à 2,7% sur un an. « Depuis plusieurs mois, l’inflation PCE évolue plus lentement que l’inflation CPI (2,5% contre 3,2% sur le total en février, 2,8% contre 3,8% sur l’indice 'core', rappelle le cabinet Oddo BHF. Cela tient à un poids plus faible du logement et à une prise en compte des indices des prix à la production (dont l’indice 'core' n’augmentait que de 2,7% l’an en février). L’indice des prix PCE a aussi enregistré une accélération en ce début d’année mais de moindre ampleur que le CPI et cette tendance devrait se poursuivre en mars. La Fed a toute raison de patienter, comme l’a rappelé Jerome Powell la semaine passée, mais elle n’a pas abandonné le scénario central de baisse des taux directeurs cette année. »

 

L’inflation étant revenue à des niveaux plus acceptables, même si au-dessus de la cible de la Fed, les dépenses de consommation des ménages devraient s’en ressentir : elles sont attendues en nouvelle hausse de 0,6% en mars, après 0,8% d’augmentation en février. Les revenus, eux, devraient avoir progressé de 0,5% sur un mois. Dernier indicateur américain à suivre : l’indice définitif de confiance du consommateur de l’Université du Michigan d’avril, espéré à 77,9 points, avec, là aussi, une composante de l’inflation, celle des anticipations de l’évolution des prix à un an.

 

Plus près de nous, en France, les opérateurs s’intéresseront également à l’indice de confiance des consommateurs de mars. Mais le rendez-vous principal est prévu à l’issue de la séance de Bourse, avec les décisions des agences de notation Moody’s et Fitch sur la note de crédit du pays. Une dégradation est fort probable. La raison ? Le dérapage du déficit public. En 2023, il s’est envolé à 5,5% du PIB, plus que les 4,9% initialement prévus par Bercy et, sans cure d’austérité majeure, il est peu probable que l’indicateur renoue avec la cible de 3% d’ici à 2027. Le Fonds monétaire international, lui-même, a torpillé cet objectif, misant sur un déficit de 4,3% dans trois ans.

 

Sur le front des entreprises, il y aura un reliquat de publications de chiffres d’affaires et de résultats. ADP, Amundi, Egide, Grolleau, Rémy Cointreau, Riber ou Sopra Steria, hors CAC 40, seront sur le pont, Safran, STMicroelectronics et TotalEnergies, au sein de l’indice phare. Chez le motoriste, les investisseurs surveilleront que l’objectif de 27,4 milliards d’euros de ventes annuelles est toujours d’actualité. Le fabricant de semi-conducteurs, lui, a prévenu il y a trois mois que ses revenus baisseraient de 15,2% sur un an et que sa marge brute se situerait autour de 42,3% à l’issue du premier trimestre, la faute à des commandes en berne chez les clients qui croulent sous les stocks. Quant à TotalEnergies, il a déjà fait paraître ses indicateurs (production et marge de raffinage), qui augurent d’un trimestre sans mauvaise nouvelle. Toujours dans le secteur pétrolier, les américains Chevron et ExxonMobil dévoileront eux aussi leurs résultats du premier trimestre.

 

Voilà les amis… Et comme toujours, si je fais un mouvement sur Airbus, je vous avertirai en direct sur X, alors pensez à activer la cloche !

 

Bonne soirée, la Bise et gardez le sourire 😘😄

 

Si vous souhaitez avoir tous mes placements en direct et toutes les autres informations,

n’hésitez pas à vous abonnez à mon compte X !