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Les retracements de Fibonacci :
Le sommet de retracement de Fibonacci qui donne un cours à 67.34€ (26/04/24) ;
Les 23.60% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 63.26€ ;
Les 38.20% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 60.74€ ;
Les 50.00% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 58.70€ ;
Les 61.80% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 56.65€ ;
Les 78.60% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 53.75€ ;
La base de retracement de Fibonacci qui donne un cours à 50.05€ (17/12/24).
Les moyennes mobiles :
Moyenne mobile à 7 jours passe décroissante (de 55.96 à 55.94)
Moyenne mobile à 20 jours reste croissante (de 55.98 à 56.04)
Moyenne mobile à 50 jours reste décroissante (de 54.26 à 54.25)
Moyenne mobile à 200 jours reste décroissante (de 59.14 à 59.09)
Les indicateurs techniques :
- RSI : Évolue au-dessus des 50
- Momentum : Évolue en territoire positif
- Stochastique : Évolue en-dessous des 50 mais au-dessus de sa moyenne mobile
- MACD : Évolue en territoire positif mais en-dessous de son signal
- SAR : Neuvième SAR rouge ce qui est un point négatif
Les zones de support sont les suivantes :
1- Bas de la zone d’alerte à surveiller à 54.40€
2- Ligne de résonance du canal baissier court terme à 53.90€
3- 78.60% de retracement de Fibonacci à 53.75€
Les zones de résistance sont les suivantes :
1- Résistance long terme à 56.30€
2- 61.80% de retracement de Fibonacci à 56.65€
3- Bollinger supérieure à 57.41€
Les tendances :
- Court terme : Neutre (03/02/2025) - Le cours évolue au-dessus de la moyenne mobile à 7 jours mais en-dessous de la moyenne mobile à 20 jours, dont la MM7 qui repasse décroissante se situe en-dessous de la MM20 qui reste croissante.
- De fond : Baissière à neutre (28/01/2025) - Le cours évolue au-dessus de la moyenne mobile à 50 jours, dont la MM50 qui reste décroissante se situe en-dessous de la MM200 qui reste décroissante.
- Long terme : Baissière (20/11/2024) - Le cours évolue en-dessous de la moyenne mobile à 200 jours qui reste décroissante.
Les objectifs pour la séance du jour :
Haussiers : Dans un premier temps, la résistance long terme qui se situe à 56.30€, puis les 61.80% de retracement de Fibonacci à 56.65€.
Baissiers : Dans un premier temps, le bas de la zone d’alerte à surveiller qui se situe à 54.40€, puis la ligne de résonance du canal baissier court terme à 53.90€.
Tout ce qui peut influencer les marchés :
La saison des publications trimestrielles monte en puissance en France, avec trois composantes du CAC 40 au menu de cette séance de mardi, toutes avant Bourse. Chez BNP Paribas, la croissance de la marge d'intérêt et des commissions sera scrutée de près, ainsi que l'évolution de la charge du risque. Les investisseurs attendent pour Dassault Systèmes une réaccélération de la croissance sur les trois derniers mois de 2024, vendue par le groupe à l'issue du troisième trimestre. Enfin, Publicis visait 5,5% de croissance organique pour l'année, toujours avec une marge de 18% et un flux de trésorerie de 1,8 à 1,9 milliard.
Le programme est riche également à l'international avec l'entrée en lice, notamment, d'Alphabet, maison mère de Google et membre du cercle des « Sept Magnifiques ». Ce sera après Bourse. L'agenda américain se compose aussi des annonces d'AMD, Amgen, Merck & Co, PepsiCo, Spotify et Pfizer. En Europe, on s'attardera notamment sur les publications de Ferrari, Infineon, Diageo et UBS.
Le programme est plus allégé du côté de l'économie. Il faudra se contenter, à 16 heures, des commandes industrielles et du rapport Jolts sur l'emploi de décembre aux États-Unis. « En janvier, l'enquête du Conference Board signalait que le pool des postes disponibles avait baissé et qu'il était plus difficile de trouver un emploi, analyse la cabinet Oddo BHF. Ces derniers mois, le rapport Jolts a montré que les flux d'entrée/sortie du marché du travail étaient revenus à la moyenne d'avant la pandémie. Les ménages sont plus réticents à démissionner pour trouver un poste mieux rémunéré. Les entreprises plus réticentes à embaucher, sans pour autant licencier par crainte de se faire face à des pénuries de main-d’œuvre ». Il est attendu 8 millions d'offres d'emplois selon le consensus Bloomberg, contre 8,09 millions en novembre.
Bonne soirée, la Bise et gardez le sourire 😘😄
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