Airbus - Mise à jour pour la séance du mardi 16 avril 2024

 

Vous pouvez agrandir le graphe en cliquant dessus

 

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Après une séance légèrement haussière, le titre continue de reprend un peu de hauteur en restant néanmoins toujours en-dessous de la moyenne mobile à 20 jours qui reste croissante et en-dessous de la moyenne mobile à 7 jours qui reste décroissante. De ce fait, on peut signaler que le cours évolue toujours à l’intérieur du canal haussier court terme et se rapproche de la ligne de résonance, s’éloignant par la même de la droite de support. La droite de support se situe à 154.30€, la ligne de résonance à 165.30€ et la droite de résistance à 176.30€ pour la séance du mardi 16 avril 2024. La tendance court terme reste « baissière à neutre » puisque le cours évolue toujours en-dessous de la moyenne mobile à 7 jours et en-dessous de la moyenne mobile à 20 jours, dont la MM7 qui reste décroissante se situe toujours en-dessous de la MM20 qui reste croissante. Toutefois, le cours évolue toujours au-dessus de la moyenne mobile à 50 jours qui reste croissante ce qui indique que la tendance de fond est « haussière ». Également, le cours évolue toujours au-dessus de la moyenne mobile à 200 jours qui reste croissante ce qui indique que la tendance de long terme est « haussière ». Les indicateurs techniques restent mitigés dans l’ensemble, avec le RSI qui évolue de peu au-dessus des 50, le Momentum qui évolue toujours en territoire négatif, la Stochastique qui évolue toujours en-dessous des 50 et qui reste en-dessous de sa moyenne mobile et le MACD qui évolue toujours en-dessous de son signal mais qui reste en territoire positif. De plus, on peut signaler que nous sommes en présence d’un dixième SAR rouge ce qui est un point négatif. L'objectif haussier reste le même, à savoir dans un premier temps, la ligne de résonance du canal haussier court terme à 165.30€, puis la résistance court terme à 166.50€. Si le cours repart à la baisse, l'objectif sera le support court terme à 159.00€, puis la droite de support du canal haussier court terme à 154.30€.

Dans le graphique, vous trouverez la zone cible que j’attends pour prendre une nouvelle ligne.

 

Les retracements de Fibonacci :

Le sommet de retracement de Fibonacci qui donne un cours à 172.78€ ;

Les 23.60% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 160.39€ ;

Les 38.20% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 152.73€ ;

Les 50.00% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 146.53€ ;

Les 61.80% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 140.33€ ;

Les 78.60% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 131.51€ ;

La base de retracement de Fibonacci qui donne un cours à 120.28€.

 

Les moyennes mobiles :

Moyenne mobile à 7 jours reste décroissante (de 165.79 à 165.17)

Moyenne mobile à 20 jours reste croissante (de 166.93 à 167.09)

Moyenne mobile à 50 jours reste croissante (de 157.59 à 157.91)

Moyenne mobile à 200 jours reste croissante (de 139.52 à 139.68)

 

Les zones de support sont les suivantes :

1- Support court terme à 159.00€

2- Droite de support du canal haussier court terme à 154.30€

3- Support court terme à 152.50€

 

Les zones de résistance sont les suivantes :

1- Ligne de résonance du canal haussier court terme à 165.30€

2- Résistance court terme à 166.50€

3- Sommet historique du 27 mars 2024 à 172.78€

 

Tout ce qui peut influencer les marchés :

Des statistiques à gogo ! Voilà ce qui attend les investisseurs mardi. Les lève-tôt prendront connaissance, dès potron-minet, des chiffres du chômage, des ventes au détail et de la production industrielle en Chine en mars, en plus du PIB du premier trimestre 2024 dans le pays. « Le premier trimestre 2023 était celui de la réouverture post-Covid, rappelle le cabinet Oddo BHF. La base de comparaison n’est pas favorable. » Les premières données relatives à l’activité de janvier à mars 2024 ne sont guère flatteuses, indiquant une croissance molle, même si elle a un peu accéléré, dans l’industrie notamment. « Le diagnostic montre une économie souffrant toujours d’une insuffisance de la demande domestique, ajoute Oddo BHF. On ne constate pas que les autorités soient disposées à prendre des mesures radicales pour purger l’excès d’endettement, libéraliser l’économie et relancer la consommation. » Finalement, le PIB devrait avoir augmenté de 1,5% d’un trimestre sur l’autre et de 4,8% en glissement annuel, contre 5,2% au dernier trimestre de 2023. Ce ralentissement de la dynamique sera-t-il confirmé par le Fonds monétaire international ? Le FMI doit livrer ses nouvelles projections économiques du printemps ce mardi. En janvier, l’institution prévoyait une croissance de 4,6% en Chine cette année, de 0,9% seulement en zone euro et un peu plus vigoureuse, à 1,5% aux États-Unis. Jerome Powell ne manquera pas d’évoquer le sujet lors de son intervention au forum intitulé « Les tendances économiques en Amérique du Nord ». D’autres rendez-vous sont à surveiller aux États-Unis. Il faudra en effet composer avec l’intervention du vice-président de la Fed, Philip Jefferson, lors de la conférence du Forum international de recherche sur la politique monétaire, la production industrielle en mars (consensus : +0,4% sur un mois) et les chiffres des permis de construire délivrés et des mises en chantier octroyées en mars. Les premiers sont attendus globalement stables à 1,52 million d’unités en rythme annualisé, tandis que les secondes devraient avoir reculé de 2,7%, à 1,48 million d’unités en rythme annualisé.

 

Sur le Vieux Continent, l’agenda macroéconomique sera assez rempli, entre l’indice Zew du sentiment économique tel qu’il est perçu par les analystes et les investisseurs allemands au mois d’avril (consensus : 35 contre 31,7 en mars), le même indicateur à l’échelle de la zone euro ou la balance commerciale de février en zone euro.

 

Sur le plan des entreprises, la saison des résultats trimestriels, qui a débuté vendredi, se prolongera tout au long de la semaine, avec la publication de 41 sociétés du S&P500, dont, mardi, les banques Bank of America et Morgan Stanley. Elles sont imitées par Johnson & Johnson (composante du Dow Jones), United Airlines ou bien UnitedHealth Group (DJ). En France, le géant du luxe LVMH (Investir est la propriété du Groupe LVMH) qui se jettera à l’eau après la clôture de la Bourse : la croissance interne de l’activité est anticipée à 3% par le consensus, du fait d’une base de comparaison encore élevée l’an dernier (+17%). Outre ce poids lourd de la cote, les opérateurs analyseront les chiffres d’affaires et résultats d’Esker, Sidetrade, SMAIO, Thermador ou Virbac, ainsi que les chiffres du trafic d’ADP en mars. A noter, enfin, qu’Interparfums tiendra son assemblée générale des actionnaires.

 

Voilà les amis… Et comme toujours, si je fais un mouvement sur Airbus, je vous avertirai en direct sur X, alors pensez à activer la cloche !

 

Bonne soirée, la Bise et gardez le sourire 😘😄

 

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