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Les retracements de Fibonacci :
Le sommet de retracement de Fibonacci qui donne un cours à 37.43€ (11/11/24) ;
Les 23.60% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 34.47€ ;
Les 38.20% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 32.63€ ;
Les 50.00% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 31.15€ ;
Les 61.80% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 29.67€ ;
Les 78.60% de retracement de Fibonacci qui donnent un cours à 27.56€ ;
La base de retracement de Fibonacci qui donne un cours à 24.87€ (07/04/25).
Les moyennes mobiles :
Moyenne mobile à 7 jours reste croissante (de 27.74 à 27.82)
Moyenne mobile à 20 jours reste croissante (de 27.93 à 27.94)
Moyenne mobile à 50 jours reste décroissante (de 29.16 à 29.05)
Moyenne mobile à 200 jours reste décroissante (de 31.34 à 31.30)
Les indicateurs techniques :
- RSI : Évolue en-dessous des 50 - (09/09/25)
- Momentum : Évolue en territoire négatif - (25/08/25)
- Stochastique : Évolue au-dessus des 50 et au-dessus de sa moyenne mobile - (08/09/25)
- MACD : Évolue en territoire négatif mais au-dessus de son signal - (15/08/25)
- SAR : Deuxième SAR vert ce qui est un point positif - (09/09/25)
Les zones de support sont les suivantes :
1- 78.60% de retracement de Fibonacci à 27.56€
2- Support long terme à 26.90€
3- Base de retracement de Fibonacci du 7 avril 2025 à 24.87€
Les zones de résistance sont les suivantes :
1- Résistance long terme à 28.60€
2- Ligne de résonance du canal baissier court terme à 28.65€
3- 61.80% de retracement de Fibonacci à 29.67€
Les tendances :
- Court terme : Haussière à neutre (04/09/2025) - Le cours évolue au-dessus de la moyenne mobile à 7 jours et au-dessus de la moyenne mobile à 20 jours, dont la MM7 qui reste croissante se situe en-dessous de la MM20 qui reste croissante.
- De fond : Baissière (21/07/2025) - Le cours évolue en-dessous de la moyenne mobile à 50 jours, dont la MM50 qui reste décroissante se situe en-dessous de la MM200 qui reste décroissante.
- Long terme : Baissière (04/07/2025) - Le cours évolue en-dessous de la moyenne mobile à 200 jours qui reste décroissante.
Les objectifs pour la séance du jour :
Haussiers : Dans un premier temps, la résistance long terme qui se situe à 28.60€, puis la ligne de résonance du canal baissier court terme à 28.65€.
Baissiers : Dans un premier temps, les 78.60% de retracement de Fibonacci qui se situent à 27.56€, puis le support long terme à 26.90€.
Tout ce qui peut influencer les marchés :
A Francfort, le Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne tiendra sa deuxième et dernière journée de débats pour sa réunion de septembre, avec l'annonce de la décision de politique monétaire à 14h15 et la conférence de presse de Christine Lagarde à 14h45. Tout porte à croire que la BCE maintiendra son taux de dépôt à 2 %, arguant que sa politique est bien calibrée et que l'inflation globale est revenue autour de 2 %. La dynamique des prix sous-jacents continue de se modérer, et certains économistes jugent que le cycle de baisse des taux est terminé. C'est le cas chez Aberdeen, qui pense que la prochaine étape lointaine pourrait être une hausse, surtout si les mesures budgétaires et la croissance économique se matérialisent. Toutefois, une vente importante de dette française liée aux incertitudes politiques ou budgétaires dans la deuxième puissance économique de la région pourrait représenter un resserrement des conditions financières et pousser la BCE à réagir. Mais « une intervention directe de la BCE pour soutenir le marché obligataire français semble peu probable à ce stade, compte tenu des restrictions entourant l'utilisation de ses différents outils de liquidité et de sa volonté d'éviter de s'impliquer dans des questions explicitement politiques », ajoute Luke Bartholomew, chef économiste adjoint chez la banque d'investissement.
Christine Lagarde devra naviguer avec prudence, ni laisser entendre un soutien direct aux marchés français ni adopter un ton trop sévère, pour ne pas déstabiliser les investisseurs. Les marchés observeront attentivement les projections macroéconomiques du staff de l'institution, l'évaluation des risques et les commentaires sur l'appréciation de l'euro. Selon Deutsche Bank, la BCE est dans une « bonne position pour maintenir et observer » et aucune donnée récente ne remet en question l'idée d'une pause prolongée.
Aux États-Unis, la journée sera dominée par l'inflation du mois d'août et les nouvelles inscriptions au chômage pour la semaine au 6 septembre, toutes deux attendues à 14h30. Bloomberg anticipe une hausse mensuelle de 0,3 % pour l'indice global des prix à la consommation et pour l'indice de base. Sur un an, cela correspond à 2,9 % pour le premier, après 2,7 % en juillet, et à 3,1 % pour le second, des chiffres stables par rapport à juillet. Les composantes de prix des enquêtes ISM pointent vers le haut mais force est de constater qu'à ce stade, l'impact direct du choc tarifaire reste modeste, dit-on chez Oddo BHF.
Il s'agit de la dernière statistique d'importance à paraître avant la réunion de la Réserve fédérale la semaine prochaine. Le défi pour la Fed est que même si l'inflation s'accélère, le ralentissement de la croissance de l'emploi est désormais considéré comme une grande priorité pour la banque centrale. « Il est clair que l'économie est prise entre le marteau et l'enclume, ou plus précisément, entre un choc sur le marché du travail et un rythme d'inflation non désiré », dit Stephen Kates chez Bankrate. Pour Chris Zaccarelli, de Northlight Asset Management, si la détérioration de la situation de l'emploi devrait permettre à la Fed de réduire plus facilement ses taux, elle pourrait également mettre un frein à la récente reprise du marché. « Pire encore, si l'inflation montre une tendance à la hausse jeudi, le marché commencera à s'inquiéter d'une stagflation. »
Bonne soirée, la Bise et gardez le sourire 😘😄
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